tales of the night (judicaël)
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 tales of the night (judicaël)

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MessageSujet: tales of the night (judicaël)  tales of the night (judicaël) Time-m10Lun 18 Mar - 19:20


« Wouaw !... ça c'est... »
Gambettes flageolent et se croisent. Ramdam de chair sur l'asphalte. La rouille dévaste le claquoir. Saveur délicate du breuvage sur les papilles. La tignasse éparse s'agite sur les épaules dénudées. Les mirettes, au devant, cherchent l'échappatoire. Mais la silhouette barricade l'unique issue. Piaillement goguenard du macchabée.
« S'il vous plaît... »
La supplique est similaire à tant d'autres. Et ça lui arrache un rictus mutin. Pitié. La vie en a-t-elle seulement eu pour elle ? La gargouille lève ses prunelles dédaigneuses vers la lune pleine. Extase du suspense qui se distend pour mieux les enlacer. Fauve pernicieux. C'est l'angoisse du noir qui détonne dans la ruelle déserte. Ça tambourine aux tempes. Ça martèle le poitrail. Quelle délice ! Moiteur de la femme au cuissot ; les sens en bataille dans l'encéphale. Et elle attend davantage la guenon. Elle dévore l'émoi. Elle se gorge des vaisseaux gonflées sous l'épiderme.
« Ne me... »
Mais la paluche balaye la plainte aussi sec. Peu importe les jérémiades. Rhodes n'en a que faire. Son échine se voûte. Étreinte brûlante de son regard famélique.
« Shhht !... »
La crapule se lance sur la malheureuse carcasse. Bruissement de peau qui s'écartèle. Chuintement assoiffée de la gueule prédatrice. Effluves lointaines d’absinthe sur les lippes peintes. La gorge gronde son enjouement.
Boum... Boum...
Le myocarde s'ensommeille.
Boum...
La vie s'arrête.        

Sangsue revêt masque vénitien. Les doigts arrangent la chevelure, époussettent la soie sur les hanches. Un raclement dans le gosier, et elle retrouve le bar qu'elle hante depuis quelques jours.  Et ce type, plus loin, qui semble vouloir se noyer sous quelques lampées liquoreuses. Gamin paumé d'une antique lignée. Marmot d'une portée misérable. Les mirettes détaillent les attitudes, mangent les expressions - souvent déconfites – du gaillard. Bête féroce mais assidue, Rhodes se calfeutre dans l'ombre. Mais ce soir, le corps se guide vers lui. Irrémédiable attraction du Loup envers son casse-croûte.

« Bonsoir. »
Grimace charmante sur la gueule. Opalescence du minois enjôleur. Droite sur son tabouret, la gueuse s'habille des étoffes de la solitude-amante. La voix entonne une revendication au barmaid, tandis que l’œillade, elle, se fait secrète sur son voisin. Quelques minutes silencieuses s'étendent autour d'eux, avant qu'elle n'ajoute sans même lui jeter un œil:
« Ce bar est sordide... »
Et le petit corps s'agite d'un rire cristallin mais fallacieux. L'iris brune l'enveloppe alors. Vile mascarade de la créature boulimique.
« Je vous vois souvent ici », qu'elle semble admettre, honteuse.
Approche faussement maladroite de l'humidité sous la flanelle. Ce qu'elle est charmante bibiche avec ses cils qui battent la mesure de son cœur éteint !
« Est-ce que je peux... vous offrir un verre ? »
Candeur inonde traits impeccables. Poupée chétive dans un univers despotique. Et de son chant mélodieux appelle consensus. Une gorgée d'hydromel lui flanque une secousse scandaleuse. Fillette éplorée qui ne daigne rester seule en cette heure. Et un sourire de plus s'ajoute à son cinéma.
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Judicaël L. Austen
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MessageSujet: Re: tales of the night (judicaël)  tales of the night (judicaël) Time-m10Mar 19 Mar - 12:20


T'es une épave. Tu le sais, hein, Jude ? La petite voix gambade dans ta trogne. Gauche, droite, gauche, ça tangue. Tu pues le désespoir à plein pif. Comme chaque soir. T'es pas plus beau à voir que ce pochtron à la carne moucheté de tâches. A l'extérieur, l'emballage est meilleur. A l'intérieur, tu ressembles à une salle de miroirs qu'on aurait bousillés à coup de batte un à un. Lentement. C'est ton reflet, ton futur plus si incertain. Bravo, mon gars, t'as gagné le gros lot. Le temps défile. Il s’effrite. Tu peux bien avoir le cul vissé sur ce tabouret depuis dix minutes, comme une éternité, que t'en verrais pas le bout. Une voix chantonne à ton esgourde. Claironnante. Le son d'un ange qui passe. Tes azures volent du verre à la brune à la poitrine généreusement offerte à tes prunelles. Mais tu t'en fous. C'est pas Gwen. Tu veux ta femme. Rien qu'elle. Et on te l'a enlevée. Tu soupires et agrippe le verre froid pour caler le goulot sous tes lippes. T'es plus rien qu'une épave échouée qu'on explore avec une curiosité toute morbide. La brune lâche une affirmation d'une évidence à faire soupirer de lassitude.

Et c'est ce que tu fais.


« - Mais non voyons, c'est Disneyland.

Sarcasme puant.

Elle a pas l'accent du coin. Ici, les soûlards et les femmes lâchent des jurons en vieux gallois comme on avale une gorgée de vin. Tout le temps. La brune te fait son petit numéro de charme. N'importe quel trou du cul sauterait sur l'occasion. Toi, tu renifles, apporte la bouteille jusqu'à ta gueule et inonde ton gosier jusqu'à noyer ta glotte.

- C'est le seul bar de ce village paumé, tu l'informes d'un ton sans hargne ni joie.

Et voilà, la fameuse proposition. La plus romantique qu'on puisse faire après «  viens, on nique sur la cuvette des toilettes ? ». L'appel de l'alcool te fait tiquer et tu te tournes vers elle.

- Préparez votre ardoise.

Sourire fugace. Rapidement bouffé par ta barbe épaisse. Tu décortiques une cacahuète. La carcasse vole jusqu'à la tête voisin qui bronche à peine. Tu renifles, agrippe ta nouvelle bière et approche de la brune. En vérité, t'attaque à peine la troisième et tu sens encore l'herbe fraîche à force d'avoir parcouru des kilomètres sur les pleines. Tu fais que ça. Bouffer de la distance, tourner en rond, revenir, boire, dormir. Eviter ta mère. Gratter l'herbe à coup de talon. Eviter ta mère. Tu glisses comme un serpent jusqu'à son tabouret, colle la pointe de ta guibolle sous le pied du sien et la ramène jusqu'à toi. Vos truffes se frôlent. Tu dardes ton regard dans les siens et siffle avec hargne.

- Tu m'veux quoi ? Hein ? T'es une autre de ces putains de journalistes, c'est ça ? » que tu susurres tout bas, ton souffle au houblon sur ses lippes rouge salope.

Ces vautours qui te tournent autour depuis la mort de Gwen. Y sont nombreux. Charognards. Manges merdes. La mort de ta femme est l'attraction la plus grisante du coin. Alors un peu, qu'on te harcèle à tout va pour connaître la vérité. Et la rumeur court. Ouais. Ce serait même bien toi le tueur. Connerie.
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MessageSujet: Re: tales of the night (judicaël)  tales of the night (judicaël) Time-m10Mar 19 Mar - 19:16


Chagrin cuisant sur l'échine. Et cela affaisse toujours plus les frêles épaules. Pas besoin d'être visionnaire pour l'apercevoir. Pauvre gamin ; juché au dessus de ses propres abîmes. Elle aurait presque larmichette au coin de l'oeil. Comme chacun, elle sait l'accusation qui l'ébranle. Tragédie latente d'une épouse mutilée. Les journaux ne s'égosillent que de cela. Armée de dégénérés ; trop occupés à faire chier le monde pour constater l'ennui de leur propre existence. Et les rumeurs vont bon train. A chaque nouvelle journée sa loterie. Tantôt victime. Tantôt bourreau. La trombine meurtrie partout sur les premières. Gros titres et spéculations éhontées. Difficile pour le malotru de passer inaperçu. Mais les regards inquisiteurs qui lorgnent le monde n'aspirent qu'à se délecter du malheur des autres. Elle aussi, elle s'en revigore. L'air de rien, derrière ses mèches brunes, elle s'esclaffe de la détresse qui s'émancipe par vague du gaillard. Délicieuse agonie du myocarde tambourinant sous la chemise. Ce sont les doigts qui s'agitent sous la boiserie. Vile tentation d'y planter les serres, d'y étreindre la viande jusqu'à l'apathie. Mais la comédienne s'enveloppe du manteau des fanfarons. Jeu pervers qu'elle maîtrise avec perfection. Pas de soubresaut face à l'attitude réfractaire venant gifler séduction. Un simple sourire contrit. Les mirettes cherchent à s'ancrer ailleurs. Pudeur sirupeuse. Timidité chimérique. Les gestes sont délicats. Poupée calomnieuse qui tressaille pourtant jusqu'à la moelle. Les lippes s’entrouvrent, puis se referment sur un soupire avorté. Quelle comédie ! L'hilarité lui vient aux tripes. Une seconde seulement, où elle papillonne des cils. Évidemment, tout ceci ne serait pas aussi facile ! La Bête sous le derme feule d'exaltation. La paume tapote alors l'abdomen alangui. Calme.

La main levée interpelle le barmaid. Autre chose. Quelque chose de fort pour son voisin peu cordial. Il semble navré lorsqu'il pose les yeux sur elle, avec son haussement d'épaules et son air voulant signifier: laisse tomber, tu perds ton temps. Mais qu'importe. La gargouille se laisse bercer par les aspirations à peine contenue de son corps de femme. Mimes ridicules du pantin séraphique. Pas de forcing, ni même d'ahurissement stupide. Rhodes s'asperge simplement d’absinthe. La liqueur éveille quelques palpitations extatiques dans les tréfonds de son gosier. Un frisson lui grimpe le long de l'échine. Et elle s'efforce d'inspirer lourdement.

Le petit minois se ferme. Renfrognement juvénile de l'adolescente rabrouée. Le museau se perd dans le godet. Longue lapée qui brûle les muqueuses. Pas le temps d’échafauder autre chose. Le chuintement du siège contre le carrelage lui arrache un glapissement étonné. Stabilité s'échappe alors, contraignant la vipère à s'agripper aux pourtours du soûlard. Quelques secondes, les mirettes ne savent où se poser. Incompréhension de l'esprit volubile. Les paupières clignotent. La bouche filtre plainte licencieuse.
« Je vous demande pardon ? »
La caboche s'agite de droite à gauche. Outrage de la femme blanche comme neige. Profit de cette proximité nouvelle qui serre les cuisses.
« Je ne comprends pas ce que vous dites. »
Les doigts se faufilent entre eux, tâtent la poche à la recherche d'une énième manipulation. Billet se colle sous son nez. Feuillet factice qui la métamorphose en simple aide-soignante.
« Ce n'est qu'un horrible malentendu », qu'elle souffle contre sa mâchoire.
Paume contre le thorax du gars, gorgone s'éprend d'un vertige confus. Contiguïté entaille l'abdomen et échauffe Lilith sous la soie.
« Je connaissais Gwen. »
Murmure à peine audible. Bombe A. Électrochoc.
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Judicaël L. Austen
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MessageSujet: Re: tales of the night (judicaël)  tales of the night (judicaël) Time-m10Mar 19 Mar - 22:45


Elle a un sale goût. Senteur débauche. Satin branlant. Chimère cruelle. Putain infernale. Catin capricieuse. T'ignores son petit jeu et pourtant, tu grondes. Elle te rend ton regard, bombe sa poitrine, bat des cils. Soupire aux relents de douceurs exquises et tentatrices. Oh, vilaine fille. Tes lippes crachent un rire amère. Pas de joie. Plus jamais. Un malentendu, ton cul. Tes prunelles dardent la carte d'aide soignante et tu bronches pas. Ton souffle senteur houblon s'échoue toujours sur ses lippes. T'es qu'un sale con. Tu t'en branles. Qu'elle crève.

« - Tu m'en diras tant, tu lâches avec un râle rauque.

T'es qu'une merde, Jude. Assume. Et pourtant, tu défailles. Elle prononce l'interdit. Le tabou. Tu serres le bords de son tabouret et plante tes azures polaires dans son regard éphémère. La douleur perce ton myocarde comme mille coups de couteaux. A jamais. T'es foutu.

- Quoi ?

Tu reconnais à peine ton timbre alors que tu serres les crocs à t'en bousiller les gencives. Si Roxane te voyait là...

- Prouve-le, que tu craches, pas crédule pour un sous.

Y a des souvenirs qui trompent pas. Des habitudes. Des gestes. Des mots. Des maux. Gwen te disait tout. A la moindre escarmouche, tu la flambes. Personne te retirera des années de complicité volées. On t'a déjà bouffé ton futur. Il. Un démon. Mais toi, t'as les tiens qui te ronge et l'envie de l'éclater contre le bois saccagé.

- Alors, j'attends, tu grondes.

Tu menaces. Vous êtes acteurs d'un nouveau spectacles. Tous les regards sont vissés sur vos carcasses trop porches.  Et tu t'en contrefous. Ils peuvent se repaître, les vautours. Depuis ta sortie d'asile, c'est monnaie courante. Rien de neuf sous les nuages Gallois.

- Viens-en aux faits, ou fous le camp ! »
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MessageSujet: Re: tales of the night (judicaël)  tales of the night (judicaël) Time-m10Jeu 21 Mar - 21:49


Gargouille se repaît du déluge. Et quelle tumulte dans ses mirettes ébahies ! Rhodes ravale délectation licencieuse. Comédie pittoresque. Son minois semble s'assombrir. Postiche éhonté d'une tragédie passée. Magma sirupeux de mièvreries infantiles. L'iris se mouille alors d'un chagrin sardonique. Pauvre petit garçon. Orphelin désabusé. C'est la main qui s'élève, aspirant à cette caresse rédemptrice qui pourrait réchauffer l'âme. Puis qui se détourne vers d'autres méfaits. La gourgandine s'éjouit du rôle dans lequel elle se louvoie l'air de rien. Lien méphitique d'une trépassée qui ne peut désormais plus se justifier. Les lippes ne se mouvent pas immédiatement. Elles se tordent légèrement. Grimace peinée d'une désolation réciproque. La gangrène se déploie. Elle dévaste les artères, nécrose les pauvres ventricules fatigués. Ombre méphistophélique dont on ne peut plus se passer. Renfrognée, - que dis-je -, profondément heurtée, golem papillonne des cils pour chasser larmichette. Pas commode le gaillard. Alors elle efface une goutte iodée qui pointe naseau au coin d'un œil. C'est l'habitacle qui s'agite soudainement d'un effarement sans nom. Elle pourrait chialer comme une dératée. Mais le moment n'est pas encore venu. Il faut se faufiler progressivement. Pas de précipitation, malgré la faim qui déjà ravage la Bête. Rhodes s'anime d'un rictus éploré. Et ses mains, fébriles, trifouillent l'argent qu'elle jette rapidement au barmaid. Fuir. Se la jouer donzelle en détresse. Faire mine de ne plus parvenir à supporter l'incorrection limite grossière du malotru.

« Nous étions cousines », qu'elle siffle, perfide.
Sa leçon, Rhodes l'a apprise sur le bout des doigts. Enfance. Adolescence. Judicaël. Pas bien compliqué. Les journaux en dégueulent chaque jour un peu plus. Mais elle n'ajoute rien. Cœur au bord du billot. Mascarade se lève dans un bruissement détonant. Une fois de plus, les mots qu'elle souhaiterait dire se meurent pour en articuler d'autres.
« Nous nous sommes perdues de vue. »
Et elle recouvre son buste d'une veste, prête à déguerpir. Cette fois, l'eau trempe la peau diaphane. Actrice cruelle. Les traits oscillent. Douleur cuisante dans le poitrail. Tantôt chat. Tantôt souris. La belette se prépare à l’entracte. Laisse derrière elle incertitude latente. Longuement, ses mirettes détaillent la mine grincheuse du pauvre larron. Silencieuse, tout son être promet funeste conclusion. La gueule, elle, hésite à feindre la douceur. Intentions séraphines d'un ogre pernicieux.
« Pardonnez-moi pour la gêne occasionnée. Je pensais naïvement que... vous auriez pu me parler un peu d'elle. »
Et elle secoue ses frêles épaules. Naïveté tatouée sur ses lèvres pâles.
« Je ne vous ennuierai plus. »
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MessageSujet: Re: tales of the night (judicaël)  tales of the night (judicaël) Time-m10

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